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Coaching

Ce n’est pas le vent qui décide de ta destination, c’est l’orientation que tu donnes à ta voile.
Jim Rohn

Le coaching individuel

L’expertise du coach consiste à ne pas proposer de méthode mais à inviter, en posant les bonnes questions, à la réflexion, à la construction d’une stratégie personnelle d’évolution.

Le coaching invite la personne à faire des choix, à se positionner afin que ses actions soient en cohérence avec ses rôles sociaux et son but professionnel. Il s’agit de rester en contact avec ses propres valeurs.

Le travail réalisé permet de prendre du recul pour ne plus réagir aux événements au coup par coup mais avoir une vision globale. Ainsi, il est plus facile de prendre en charge la création de son futur en prenant conscience de son fort impact personnel dans les relations et sur les événements.

La pratique du feed-back est au cœur de la relation de coaching car elle permet de se confronter à la réalité d’un œil neuf, loin de l’agitation courante des tâches du dirigeant.

Le coach sert de voyant sur le tableau de bord du dirigeant et rend possible l’exploitation de nouvelles solutions.

La force de l’équipe est chaque membre individuel. La force de chaque membre est l’équipe.

Le coaching d’équipe

Par le mode d’animation mis en œuvre, il s’agit de déjouer les pièges de la non-relation.

Ainsi les principes-clés ci-dessous sont travaillés et utilisés :

  • Sortir du jeu manichéen de la recherche des coupables et victimes (générateur
    d’immobilisme) et se fixer sur la Situation plutôt que sur les personnes,
  • Privilégier toujours ce qui est entendu plutôt que ce qui est dit,
  • Tout faire pour éviter de provoquer chez l’autre le sentiment d’une mise à l’index ou d’une culpabilisation génératrice de déni, justification, agressivité ou fuite et donc in fine de blocage et immobilisme,
  • Dissuader les procès d’intention en parlant de soi et son ressenti plutôt que de l’autre et ses torts,
  • Accepter le ressenti de l’autre comme une donnée incontestable et appeler ainsi le double effort de l’honnêteté intellectuelle (confiance a priori) et la pondération du propos,
  • Dissocier les faits des opinions pour les mettre en résonance questionnée,
  • Reconnaître en l’autre une liberté fondamentale assortie d’un besoin de responsabilité,
  • Entendre les intérêts particuliers (toujours légitimes) et les renvoyer au bien commun,
  • Appeler à poser ensemble les premiers signes tangibles d’une ‘’volonté d’avancer’’.